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Affichage des articles du juin, 2015

Nurarihyon - Chapitre 11, version traduite

Chapitre 11   Cinq jours après que Daijirô ait été libéré par le Bureau du magistrat, la famille de Sônosuke avait fait ses bagages et allait déménager à Ôshû, leur province natale. Son innocence ayant été prouvée, Daijirô était redevenu sans problème un samouraï ; et c’est avec bonheur qu’il partait sur les routes.   Afin de dire au revoir à la famille, qui avait terminé ses préparatifs pour le voyage, Rihan se rendit seul à la sortie de la ville.   Hayashida Daijirô et sa femme semblaient reconnaissant du fond du cœur d’avoir été sauvé par le clan Nura. Lui tenant les mains, ils remercièrent Rihan encore et encore.   Le moment de la séparation était presque arrivé, Rihan dit à Sônosuke : 「 Sônosuke, prend bien soin de toi. 」 「 Oui, toi aussi Rihan 」 「 Suis l’exemple de ton Père et deviens un admirable samouraï ! 」 「 Oui. Toi aussi, Rihan, deviens un admirable second Commandant suprême ! 」 「 Bien sûr. 」 「 Rihan…… 」 dit Sônosuke, le menton tremblant légèrement. 「

Nurarihyon - Chapitre 10, version traduite

Chapitre 10   Le fait de pénétrer dans les maisons d’autrui sans se faire remarquer était l’Osore [1] de Nurarihyon, mais lors d’une attaque c’était une toute autre histoire.   Plutôt que de passer par le portail principal, le Commandant suprême le franchit en le détruisant grâce à la pression du cortège démoniaque. Puis, il arriva en face de l’entrée de la demeure. Evidemment, la porte d’entrée aussi, il ne l’ouvrit pas avec douceur. Il l’a fit voler d’un coup de pied, et pénétra dans la maison ennemie brutalement. Les vassaux de Sawamura arrivèrent en trombe en entendant le vacarme. 「 Le clan Nura vous attaque ! Salopards, préparez-vous ! 」 leur jeta le Commandant suprême. La demeure fut encerclée d’un seul assaut par le cortège démoniaque. 「 Rihan-sama, ne vous éloignez pas de moi, s’il vous plaît ! 」   Rihan fit comme Karasu Tengu lui dit. La situation ne lui permettait pas de dire qu’il voulait lui aussi se battre. Aussitôt d’un peu partout, des rugissements, des cris