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Affichage des articles du février, 2015

Nurarihyon - Chapitre 4, version 2

Chapitre 4 「 Il semblerait que le retour en service de mon Père ai été décidé. 」 aborda Sônosuke, après que les deux garçons aient joué un certain à lancer des pierres dans la rivière. Le soleil avait commencé à se coucher, mais il faisait encore suffisamment clair dans le lit de la rivière. Les deux garçons étaient assis côte à côte sur l’herbe. Le Daimyô, qui avait condamné beaucoup de monde, avait continué son mauvais gouvernement. Il semblerait que les efforts du Ministre du Daimyô aient porté leurs fruits. C’était le cousin [1] du Daimyô et, bientôt il allait prendre sa place. De plus, selon les circonstances, les personnes innocentes qui avaient été exilés pourraient être pardonnées et reprendre leur ancien poste. 「 Ce qui signifie, Sônosuke, que ta famille et toi pourriez rentrer à Ôshû ? 」 Quand Rihan, qui arrachait et jouait avec des touffes d’herbes, lui posa cette question, Sônosuke acquiesça en regardant fixement la rivière. 「 Ouais, nous rentrerons sans dout

Nurarihyon - Chapitre 3, version 2

Chapitre 3   Rihan avait rencontré pour la première fois Hayashida Sônosuke [1] environ trois mois auparavant.   Ce jour-là aussi, Rihan séchait les cours de Karasu Tengu et s’était rendu en ville. Flâner seul à sa fantaisie était agréable. Karasu Tengu ne pensait pas au fait que Rihan désirait marcher seul, et habituellement quand Rihan disait qu’il 「 allait se promener 」 , on lui collait des membres du clan comme escorte. Il la refusait, mais c’était toujours pénible.   Même si se promener avec les membres du clan Nura était agréable, parce qu’ils étaient tous des compagnons amusants, de temps en temps, Rihan souhaitait se promener seul en toute liberté.   En marchant dans la rue commerçante animée, Rihan faisait du lèche vitrine dans les diverses boutiques. S’il avait eu de la monnaie dans sa bourse, il aurait aimé acheter et manger des dango [2] , mais malheureusement il n’avait pas assez d’argent.   Il arrivait à la fin des boutiques serrées les unes contre les autr